Johann Van Hal

De Warhammer - Age of Sigmar - Lexicanum

Johann Van Hal doit être le plus célèbre de tous les répurgateurs, c'est lui qui tua le vampire Gunther von Blodfel et purifia le château hanté de Reikwald. Nul ne sait d'où il vient ni pourquoi il a embrassé cette carrière, Johann ne parle jamais de son passé et il serait peu prudent de l'interroger à ce sujet. Ceux qui connaissent les secrets de l'Empire savent cependant qu'il porte le nom d'un nécromancien des temps jadis, l'infâme Vanhal Tous ses descendants ont tenté d'expier les fautes de leur ancêtre, mais en vain. Pour chaque sorcier maléfique abattu, dix autres se jettent sur les chemins de la damnation. Pour chaque vampire tué, une famille est infectée par la malédiction. Rares sont ceux qui comprennent le sentiment de culpabilité qui pèse sur les épaules de Johann.

Son unique compagnon de route est Wilhelm Hasburg, un prêtre de Sigmar dont le temple fut brulé par des adorateurs du Chaos. Certains affirment que voir l'oeuvre de sa vie disparaître en fumée l'a plongé dans la folie, mais tous s'accordent à reconnaître la sincérité de sa foi, comme en témoignent ses automutilations et ses prophéties de fin du monde. On pense que sa foi et ses prières le protègent contre la magie maléfique, et on sait qu'il est capable de fracasser le crâne du premier blasphémateur venu.

Face à des ennemis surnaturels, de nombreux, de nombreux généraux gravent le signe du marteau sur des poteaux indicateurs ou des portes des villes afin de signifier au légendaire répurgateur qu'ils ont besoin de lui. Johann offre ses services à quiconque en paye le prix, tout l'or dont il n'a pas lui-même besoin étant reversé au culte de Sigmar.

Lorsque les hordes mortes vivantes menacent et que l'ombre du Chaos s'étend sur le monde, Johann et Wilhelm apparaissent. Ils affrontent l'ennemi le plus terrible sans éprouver la moindre peur et se jettent sur les plus immondes démons et morts vivants avec une fureur froide et une haine farouche dans le regard. Après la bataille, ils viennent réclamer leur dû et s'en vont sans rien ajouter de plus ... au grand soulagement de leurs commanditaires.

Source

Les Princes Marchands